lundi 22 décembre 2008

JOYEUX NOEL

Vous aussi vous trouvez que ça sent le foie gras, que la cave est remplie de champagne, que les mioches sont surexcités et qu'il y a de drôles de silhouettes rouges pendues à toutes les fenêtres de votre rue ? C'est que NOEL arrive !!! Ouiiii, vive les cadeaux, les huitres, les bûches au chocolat de mémé et les histoires drôles de tonton Gaston !
C'est également la trève de Noël pour le rugby, 15 jours pour se reposer et se ressourcer en famille et revenir en pleine forme à la rentrée en Janvier 2009.

D'ici là soyez gentils avec le père Noël, n'abusez pas du chocolat et bonnes fêtes de fin d'année à tous !

Rendez vous en 2009!
Bizzz Lulu

mardi 9 décembre 2008

Les deux piliers


Vous vous demandez comment tient une mêlée ? C’est grâce aux deux piliers, une à droite, l’autre à gauche, numéro 1 et numéro 3.
En fait, il y a très peu de différences entre ces deux costauds, vous pouvez vous servir du dessin pour jouer au jeu des 7 erreurs.

Elles parlent peu, ralent beaucoup, ne voient pas souvent le ballon (ne le touchent pas beaucoup non plus), mais sont toujours prêtes à rire d’une « fine plaisanterie » du pilier d’en face en la gratifiant d’un petit doigt dans l'oeil de temps en temps… pour détendre !

Vous vous demandez où on les trouve ? Sur le terrain, ce n’est pas évident : cherchez un tas… elles sont dedans.En dehors du terrain, c’est plus facile à trouver deux piliers de bistrot !

La talonneuse


Bras écartés, l’air mauvais pour impressionner l’adversaire, la talonneuse (numéro 2) attend ses deux piliers pour l’entrée en mêlée.

Son rôle consiste à propulser le ballon en arrière, dès son introduction par la demi de mêlée. C’est la pièce maîtresse de la mêlée fermée, tout le monde lui pousse au cul, et faut être sacrément gaillard pour résister à la pression qui s’exerce sur elle, par devant comme par derrière…Vous l’avez compris… il faut une aptitude physique très particulière pour tenir ce poste.

Le trois-quart / aile


La trois-quarts aile (ou ailier) est l’exemple type de la métamorphose des joueuses dans le rugby moderne. L'énorme bouledogue s’est transformé en fine gazelle. Toujours plus rapide, mais encore plus puissante, on ne sait trop ce que l’on pourrait trouver aujourd’hui dans sa gamelle. Les ailières reconnaissent « faire le drapeau » quand elles sont accrochées à certaines avants du pack mais on leur pardonne car elles sont capables de suivre Carl Lewis dans un 100m.


La numéro 11 ou 14 (parce qu’il y a deux trois-quarts ailes dans une équipe à XV), court en général le long de la touche. Elle a souvent de la chance quand il lui arrive une passe, nous gratifie alors d’une course à fond les ballons, et d’un beau plongeon (surtout quand il fait chaud) !

La demi de mêlée


Le demi de mêlée porte le numéro 9.
Comme le dit son nom, c’est une « demi » (portion), alors elle n’est pas bien grande, c’est même souvent la plus petite de l’équipe. Elle est petite mais elle a une gueule infernale ! C’est qu’il faut se faire sa place au milieu de ces monstres du pack de devant.
Elle ce qu’elle aime, c’est diriger, commander, aboyer, gratter, introduire, passer, causer avec l’arbitre ou le juge de touche, et enguirlander les "grosses" et les plus grandes qu'elle pour se venger de ne faire qu'1m60.